L'ancien gardien d'Emmanuel Macron discute de ses objectifs dans la promotion de la sécurité des entreprises en Afrique. Malgré tout, il prend plaisir à appeler "la sureté de Benalla".
Commentaires accumulés par Le Nouvel Economiste.
"J'avais la volonté de me transformer en représentant pour obliger mes trois avantages: la compréhension, la sécurité et les connaissances liées à l'argent, et l'Afrique." Telles sont les déclarations d’Alexander Benalla, qui a toutes les raisons d’être éloigné des portes de l’Elysée, un an après les révélations portant sur le sujet porte son nom.
Il y a quelques mois, le passé évangéliste a ainsi formé son association, appelée Comya. Il s’agit d’une association de conseil et de sécurité qui, comme l’a démontré son coordinateur, doit "dynamiser la création d’associations isolées en Afrique en garantissant une information solide qui offre de terribles surprises et réduit les risques d’insatisfaction".
Alexandre Benalla a des objectifs clairs: réaliser un chiffre d'affaires de 300 à 500 millions d'euros d'ici 10 ans. "Depuis la fin de l'année écoulée, l'association s'est installée au Nigeria, au Maroc et je compte ouvrir un centre de réception européen."
Il se croit "swashbuckler"
Les acclamations surprenantes du gardien précédent lui permettent de développer ses besoins en tant que pro? "Je vois que la marque Benalla donne à quelques personnes le pouvoir de gagner de l'argent, elle a vendu beaucoup de papier, une bande dessinée est même en préparation. La marque m'a donné une réputation qui repose sur la non-recherche de mes capacités, en mettant l'accent sur mon jeune âge d’avoir les engagements que j’ai remplis.Pour le reste, c’est une marque qui favorise des circonstances principalement les médias.
Puisqu'il est de plus évidemment question d'affaires dans ce rassemblement. Alexandre Benalla retarde de manière fiable le "temps politico-médiatique" comme il l'appelle. En outre, ceci pour une année à partir de maintenant, et la divulgation des événements sur la place de la Constrescarpe. Est-ce maintenant loin derrière lui? Fait-il un début de mea culpa. "L’effort organisé avec l’organisation de la République est une période passée pour moi, je suis content d’avoir servi Emmanuel Macron et la principale préoccupation qui me dérange est d’avoir parfois suscité l’incertitude au sujet de quelqu'un qui, si cela devait être fait de nouveau, contexte de l'insiduité que cela a provoqué, je serai resté à la maison le premier mai. "
Reste à savoir où le mènera le chemin de celui qui se considère comme un "swashbuckler". Loin des questions politiques et proche de l’Afrique.
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