C'est l'autre rêve de Charlize Theron. Loin des caméras, des nattes rouges et des couvertures de magazines, la performeuse de plongée sud-africaine pourrait vouloir libérer son pays du fléau du sida et permettre la présentation d'un âge épargné par la contamination.
Créatrice du projet Charlize Theron Africa Outreach, la dernière dame de "Atomic Blonde", son dernier film, enregistre des activités pour aider les systèmes touchés par la crise.
"Nous devons réagir et affirmer assez", il faut arrêter + ", déclare le modèle précédent lors d'un rassemblement cette semaine à l'AFP, sans participer à une visite à Johannesburg.
"C'est simplement une question de stratégie", a-t-elle ajouté.
L’Afrique du Sud a peut-être le taux d’inévitabilité du sida le plus élevé de la planète, avec 7 millions de personnes sur 15 à 49 ans, soit plus de 19% de la masse totale, comme le prouvent des connaissances des États-Unis. ONUSIDA. Les jeunes femmes sont particulièrement touchées par la maladie.
Selon le gouvernement de Pretoria, 3,4 millions de personnes tolèrent directement un traitement.
En soutenant des exercices, par exemple, Choma Dream Cafes, un cadre astucieux pour aider les jeunes femmes à se préparer et se préparer, avec diverses ONG ou fondations, Charlize Theron reconnaît qu’elle peut arrêter le fléau.
"Ma propre conviction est que nous ne pourrons jamais arrêter le VIH simplement en le traitant ... c'est ridicule", dit-elle.
"Nous ne pouvons pas croire que les gens finiront par être gâtés par la maladie et accepter que nous allons alors l'arrêter et placer les actifs sur les jeunes avant qu'ils ne deviennent des VIH constructifs."
Oscar du meilleur personnage à l'écran pour son activité dans "Mammoth", Charlize Theron, 42 ans, se dit "incroyablement heureuse" des entreprises sud-africaines contre le fléau actuel.
Les spécialistes du pays ont longtemps été condamnés pour les carences de leur procédure d’horreur.
- 'Sexisme et abattement' -
L'ancien président Thabo Mbeki (1999-2008) a créé une scène en niant l'association entre la maladie à VIH et la progression du sida, a-t-il déclaré, en raison de la cruauté et de l'absence de netteté.
Charlize Theron, qui a quitté le pays de ses études secondaires et a depuis obtenu la citoyenneté américaine, reconnaît que les différences entre individus et la misère attendent un emploi impératif dans la propagation de la maladie.
En 2016, elle a stimulé les échanges lors de la réunion du Conseil de l'ONU sur le sida à Durban (est de l'Afrique du Sud) lors d'un discours affirmant que le fléau était soutenu par "le sexisme, le désespoir et l'homophobie".
"Je maintiens ce que je disais un an auparavant", demande le quartier de Benoni, proche de Johannesburg.
"Lorsque nous examinons le VIH et le sida, nous devrions considérer toutes les parties qui favorisent leur propagation (...), nous devrions nous efforcer de comprendre pourquoi toutes ces personnes sont des personnes maltraitées."
Cette semaine, Charlize Theron a contribué au dynamisme des jeunes femmes et des adolescentes à Soweto.
Dans le célèbre township de Johannesburg, frappé par la misère et le chômage, le Choma Dreams Cafe s'efforce de leur donner des conseils en matière de revultion.
Un peu de ces jeunes femmes développées âgées de 6 à 18 ans ont perdu leurs personnes, victimes de la contamination et sont particulièrement fragiles face à la perversité sexuelle.
"Je pense que si nous pouvons les attraper + avant qu'ils ne deviennent séropositifs, nous pourrons leur révéler que la maladie peut être prévenue à 100% et que le VIH n'est pas inévitable", a déclaré Charlize Theron.
"Je suis convaincue que dans cette condition, il est possible de réduire le nombre de souillures", conclut-elle.
Le café Choma Dreams de Soweto est l'une des 40 concentrations d'évasion dans les deux plus grandes zones d'Afrique du Sud, Gauteng et KwaZulu-Natal.
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