Pétrole: le Gabon signe deux contrats d’examen avec Petronas, une première depuis longtemps


Le gabon a vérifié vendredi couple contrats d’recherche de parages au spacieux de la environs sud du gabon. une élocution depuis un incontesté moment, qui arrive car le état a nouvellement séduit un inconnue édit pétrolier, se fougueux minutieusement dantesque pour les théoriciens. en simultané, libreville se oisif jusqu'à la mi-janvier 35 en gouverne des endroits océaniques.

Les Maliens Petronas ont légitimement repris vendredi les places "Yitu" (F12) et "Meboun" (F13), au large de Mayumba, dans le sud du Gabon, et ont étendu un domaine à plat de plus de 4 300 km2. Avec ces deux contrats d’examen et de partage de la création (CEPP) - selon les subtilités du nouveau code pétrolier - Petronas dispose désormais de trois atouts au Gabon qui, une fois conclus, "peuvent atterrir à un âge fixe de 200 000 barils de manière cohérente" selon au rapport du ministère gabonais du pétrole.

Pour Libreville, ce sont les contrats fondamentaux mis de côté dans cinq ans. "Nous avions un code des hydrocarbures qui n'engageait pas (...) Le Gabon développe sa partie pétrolière à la fois vers l'océan et le front de mer", selon le ministre de l'hydrocarbure, Noël Mboumba, interprété de manière claire.

Quelles répercussions pour les archives de l'état?

Le pays continue de persévérer à travers les séquelles financières de la chute des coûts du pétrole en 2014-2015 et souffre, selon les maîtres, d'un code de 2014 monstrueux pour les gestionnaires avec une incitation pour chaque baril aussi bas que 60 $ ou 70 $.

Les effets de la maltraitance de ces nouvelles places sur les salaires de l’Etat se feront sentir particulièrement longtemps, à la lumière du fait que "la période de contrôle peut durer dix ans, comme le montre la loi, une année extraordinaire" expert administratif.

"Quoi qu’il en soit, avant de s’appuyer sur l’impact des 35 obstacles similaires à celui de la rémunération, nous pouvons voir que la pièce s’arrache de manière dynamique avec une extension en cours sur les champs existants, et qu’un nombre croissant de métiers seront réalisés avec la reprise des travaux pétroliers out ", incorpore l'as.

Le Gabon espère toucher 300 000 barils par jour d'ici 2020-2021, soit environ 100 000 de plus qu'actuellement, a déclaré lors d'une réunion avec Jeune Afrique, le ministre des Hydrocarbures, Noël Mboumba.

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