La disparition d'Estelle Mouzin et la piste de Michel Fourniret: pourquoi le bilan est relancé

La disparition d'Estelle Mouzin  © AFP

Le quantité du jeune mâle qui s’est évaporé en janvier 2003 à guermantes (seine-et-marne) avait minutieusement évoqué la nécessité de évider plus de tunnels sur cette chapiteau.

Un enquêteur au sujet d'un juge qui a récemment procédé à l'évaluation relative à l'évaporation de Estelle Mouzin a nommé des gendarmes pour explorer la piste du meurtrier successif Michel Fourniret, révèle ce mercredi RTL.

Le rassemblement du jeune disparu en janvier 2003 à Guermantes en Seine-et-Marne avait longtemps évoqué la nécessité de creuser davantage ce sentier. En juillet, la Cour de cassation avait accepté d'étourdir Meaux à Paris, en choisissant un autre juge d'instruction. La requête a commencé par le procureur général de Paris et a été convaincue "par la peine de faire avancer le signe du monde réel".

Confirmations "dans le vide" en 2018

Après avoir nié de manière fiable être associé à cette évaporation, Michel Fourniret avait transmis une "confirmation non remplie" à la mi-2018 contre l'équité parisienne, accusée d'avoir coordonné les évaluations d'une autre circonstance concernant la disparition de deux femmes en 1988 et 1990, montré par l'un des avocats du père d'Estelle Mouzin.

Estelle Mouzin, âgée de neuf ans, s'était évaporée une nuit de janvier 2003 en revenant de l'école à Guermantes. Son corps a été retrouvé de temps en temps et les différentes pistes considérées par les pros ne donnaient rien.

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