Brigitte Macron Crédits photos : Bestimage |
La plupart du temps étonnamment prudente quand on lui demanda de prendre une photo avec elle, la Première Dame Brigitte Macron se laissa aller au selfie au cœur même de l'Elysée. Une conviction remarquable quand même qui a l'air bien.
À l’occasion des poids qui existaient entre les gouvernements américain et français ce milieu d’année, juste avant la tenue du G7 au Pays basque fin août (Donald Trump avait ennuyé Emmanuel Macron de "muet" dans un tweet et avait trouvé un moyen de boycotter la vin français, à la lumière de la demande du président français pour l'accumulation de dépenses sur GAFA), notre Première Dame Brigitte Macron a toute la délicatesse et apprend à entretenir de superbes relations avec Washington.
Le jeudi 10 octobre 2019, le partenaire vital d'Emmanuel Macron (dont la nuit dernière a été remarquablement troublée) utilisait encore ces attributs essentiels en tolérant à l'Elysée plusieurs ambassadeurs situés à Paris, dont Jamie D. McCourt, ambassadeur des États-Unis qui eu la chance de tenter le coup le 18 décembre 2017 à Paris et qui avait toutes les raisons d'être vraiment comblé de se trouver au Palais avec Brigitte Macron. Si captivée qu'elle espérait exalter ce moment en s'offrant un petit selfie avec la Première Dame. Souriant et irréprochable, le tir est irrésistible; Pourtant, Jamie McCourt a eu la chance de l'obtenir parce que Brigitte Macron est généralement extrêmement prudente dans ce genre de situation et avec ce style d'intrigue.
Merci à Brigitte Macron pour cet accueil très chaleureux à l'Elysée avec mes collègues Ambassadeurs en poste à Paris. pic.twitter.com/MKdCAU8szV— Ambassador Jamie D. McCourt (@USAmbFrance) October 10, 2019
Dans le livre Madame la Présidente, diffusé cette année à Plon et réalisé par les journalistes Ava Djamshidi et Nathalie Schuck, les auteurs révèlent l’inspiration qui a poussé Brigitte Macron à rejeter les selfies: "Brigitte Macron garantit de manière fiable que l’attente est assurée, que De la même manière avec ces deux rugbymen croisés un jour dans la rue: elle a tenu le coup jusqu'à ce qu'ils soient débarrassés de leur verre de mélange pour leur donner. Avec elle, c'est le bon vêtement requis. "Les conditions étaient régulièrement réunies sept jours retour. Pour le plus grand plaisir de l'ambassadeur américain.
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