Tard dans la nuit frissonnant sous les fenêtres de Brigitte et Emmanuel Macron: "Il faut se réveiller!"

Brigitte et Emmanuel Macron: Crédits photos : Best Image

Des militants du total #NousToutes se sont rassemblés ce mardi 15 octobre près de l'Élysée. Ils s'attendaient à interpeller le président de la République sur "l'accélération du fémicide".

Brigitte et Emmanuel Macron ont passé une nuit quelque peu contrariée. Ce mardi 15 octobre, aux environs de la soirée, des militants du total des #NousToutes collectés près du palais de l’Élysée. Ils s’attendaient à reprocher "le rythme croissant des féminicides", ce qui signifierait désormais 121 depuis le début de l’année, comme elle l’a démontré, a révélé un journaliste de l’AFP.

"Il y a plus de deux mois, il y a un an. Il y a une accélération des fémicides", a déclaré Anaïs Leleux, l'une des pionnières du cadre. Sans aucun doute, il y a un an, le ministère de l'Intérieur avait contrôlé 121 femmes exécutées par leur complice ou leur ex-compagne, et ce, vers la fin de 2018. "Macron, vous devez vous réveiller, 121 femmes exécutées!" l’un logiquement, "ont présenté les activistes du total #NousToutes, qui étaient environ vingt, selon BFM TV. Malgré leurs marques intelligentes, ils ont beaucoup dérangé en tapant des pots, immédiatement avant 22 heures, deux ou trois à quelques mètres de le passage obligé de l'Elysée: dès leur arrivée à l'entrée, ils ont été vivement repoussés par la police, décident nos complices.

Marlène Schiappa a déclaré devant un comité sénatorial: "Nous avons beaucoup à faire avec tout ce qui a été pris en compte, car nous constatons que, malgré les engagements des gouvernements dynamiques, y compris le nôtre, pendant une période impressionnante, le nombre de fémicides ne diminue pas." le pasticheur d'état à l'égalité comme les femmes et les hommes a inauguré en septembre suprême un "grenelle de communiquée énergique à la demeure". Le dernier, de la même manière, montrait que l’organisation envisageait de consacrer 361,5 millions d’euros à la lutte contre le féminicide, à compter d’un an.

Un discours qui ne semble pas avoir influencé les activistes du groupe #NousToutes: "Nous avons évoqué des mesures d'urgence, mais un Grenelle nous a répondu. Quoi qu'il en soit, il n'y a aucune chance de vous arrêter", a déclaré Anaïs Leleux, l'un des pionniers de le cadre. Une conviction mutuelle, enfin, sera-t-elle trouvée? Rien n'est de plus en plus discutable…

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